ELECTIONS ONMC
Dans deux communiqués signés en l’espace de 24 heures, le Président national et le Secrétaire général du Syndicat National des Médecins Privés du Cameroun affichent leurs divergences de vue et de position aux allures de désaveu sur la polémique qui sévit sur la question du processus électoral à l’Ordre National des Médecins du Cameroun.
L’actualité dans le secteur médico-sanitaire du Cameroun rime avec les élections à l’Ordre National des Médecins (ONMC) en vue de le doter d’un nouvel organe exécutif. Une actualité qui fait couler beaucoup d’encres et de salives, notamment au regard des enjeux et du nombre de candidatures engagé pour l’élection du prochain président de l’Ordre. Ce qui suscite un plus d’intérêt et une vive polémique sur le déroulement du processus électoral. Des divergences qui ont conduit au fiasco de l’Assemblée générale extraordinaire consacré à l’élection du nouveau Conseil de l’Ordre du 29 décembre 2022. Cette organisation foireuse à l’initiative du Ministre de la Santé Publique, Manaouda Malachie en application des textes d’en vigueurs adopté à l’AG de Mai 2022 ne cesse d’être violemment critiquée par les membres qui y voient une volonté de la tutelle de piper les dés au du candidat issu du collège des médecins fonctionnaires. Même la dernière réunion de concertation entre le Ministre, les candidats et les représentants de différents collèges du 6 janvier 2022 a été boycottée par cinq des sept candidats en lice.
Dans cette ambiance délétère qui n’augure pas la tenue d’une Assemblée générale approuvée par le grand nombre des membres (11 050 inscrits), et ne permettra pas à l’ONMC de sortir plus ragaillardi, le président du Syndicat National des Médecins Privés du Cameroun (SYNAMEC) a dans une correspondance adressée au Ministre de la Santé Publique demandé de surseoir à la tenue de l’AG Extraordinaire de rattrapage convoquée pour le 18 janvier 2023. Prétendant adressée une proposition issue de la réunion du Bureau exécutif tenue en urgence. « Mais la tournure des événements actuels et la grogne latente au niveau des médecins ont semblé constituer la trame de fond, sur la base de laquelle, le bureau de notre mouvement s'est réuni pour en apprécier la problématique ». Une proposition qui s’appuie sur des violations observées dans la conduite du processus électoral. A savoir : - Le non-respect des résolutions de l'AG constitutive du 13 Ma i2022; - L'absence d'un fichier électoral fiable et validé par les membres du conseil sortant ; - Les intimidations sous cape des promoteurs de cliniques privées; - La mise sur pied unilatérale d'une commission électorale aux ordres.
L’actualité dans le secteur médico-sanitaire du Cameroun rime avec les élections à l’Ordre National des Médecins (ONMC) en vue de le doter d’un nouvel organe exécutif. Une actualité qui fait couler beaucoup d’encres et de salives, notamment au regard des enjeux et du nombre de candidatures engagé pour l’élection du prochain président de l’Ordre. Ce qui suscite un plus d’intérêt et une vive polémique sur le déroulement du processus électoral. Des divergences qui ont conduit au fiasco de l’Assemblée générale extraordinaire consacré à l’élection du nouveau Conseil de l’Ordre du 29 décembre 2022. Cette organisation foireuse à l’initiative du Ministre de la Santé Publique, Manaouda Malachie en application des textes d’en vigueurs adopté à l’AG de Mai 2022 ne cesse d’être violemment critiquée par les membres qui y voient une volonté de la tutelle de piper les dés au du candidat issu du collège des médecins fonctionnaires. Même la dernière réunion de concertation entre le Ministre, les candidats et les représentants de différents collèges du 6 janvier 2022 a été boycottée par cinq des sept candidats en lice.
Dans cette ambiance délétère qui n’augure pas la tenue d’une Assemblée générale approuvée par le grand nombre des membres (11 050 inscrits), et ne permettra pas à l’ONMC de sortir plus ragaillardi, le président du Syndicat National des Médecins Privés du Cameroun (SYNAMEC) a dans une correspondance adressée au Ministre de la Santé Publique demandé de surseoir à la tenue de l’AG Extraordinaire de rattrapage convoquée pour le 18 janvier 2023. Prétendant adressée une proposition issue de la réunion du Bureau exécutif tenue en urgence. « Mais la tournure des événements actuels et la grogne latente au niveau des médecins ont semblé constituer la trame de fond, sur la base de laquelle, le bureau de notre mouvement s'est réuni pour en apprécier la problématique ». Une proposition qui s’appuie sur des violations observées dans la conduite du processus électoral. A savoir : - Le non-respect des résolutions de l'AG constitutive du 13 Ma i2022; - L'absence d'un fichier électoral fiable et validé par les membres du conseil sortant ; - Les intimidations sous cape des promoteurs de cliniques privées; - La mise sur pied unilatérale d'une commission électorale aux ordres.
M. NZOCK NZOCK
Article publié dans le journal Le Canard Libéré du Cameroun
www.lecanardlibere237.com
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