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LA JEUNESSE DU LITTORAL SE MOBILISE POUR LA CONSOLIDATION DE LA PAIX

CONSEIL NATIONAL DE LA JEUNESSE


Le Bureau Exécutif National du Conseil National de la Jeunesse du Cameroun a mis le Cap sur Douala dans le cadre d’une tournée engagée sur l’ensemble des dix régions. La Plateforme de Dialogue Régionale de la Jeunesse du Littoral a été l’épicentre de la cérémonie organisé le 6 juin 2024 dans la salle de banquet des services du Gouverneur.



Pour la quatrième étape de son périple nationale, le Bureau Exécutif National du Conseil National de la Jeunesse du Cameroun sous la houlette de sa présidente Fadimatou Iyawa Ousmanou, a mis le cap sur Douala le 6 juin 2024.  A l’occasion, la Plateforme de Dialogue Régionale de la jeunesse du Littoral conduite par le président du CNJC Littoral, Leonel Ntouba a mobilisé près de 500 jeunes des 34 communes et des 04 départements dans le cadre  d’un échange citoyen sous le thème : « La contribution de la jeunesse camerounaise à la consolidation de la paix ». La salle de banquet des services du Gouverneur de la région du Littoral qui abritait la rencontre a fait le plein d’œuf. Présidée par le Secrétaire général des Services de la région, Aboubakary Haman Tchiouto, il en a profité pour lancer un appel à la jeunesse de remplir son devoir citoyen en s’inscrivant massivement sur les listes électorales et postulant à des postes électifs afin que leurs voix comptent et influencent les choix des élus qui seront appelés à occuper les sphères décisionnelles. Par ricochet, ce qui leur permettra de ne pas subir les affres des lendemains des joutes électorales.



Pour la quatrième étape de son périple nationale, le Bureau Exécutif National du Conseil National de la Jeunesse du Cameroun sous la houlette de sa présidente Fadimatou Iyawa Ousmanou, a mis le cap sur Douala le 6 juin 2024.  A l’occasion, la Plateforme de Dialogue Régionale de la jeunesse du Littoral conduite par le président du CNJC Littoral, Leonel Ntouba a mobilisé près de 500 jeunes des 34 communes et des 04 départements dans le cadre  d’un échange citoyen sous le thème : « La contribution de la jeunesse camerounaise à la consolidation de la paix ». La salle de banquet des services du Gouverneur de la région du Littoral qui abritait la rencontre a fait le plein d’œuf. Présidée par le Secrétaire général des Services de la région, Aboubakary Haman Tchiouto, il en a profité pour lancer un appel à la jeunesse de remplir son devoir citoyen en s’inscrivant massivement sur les listes électorales et postulant à des postes électifs afin que leurs voix comptent et influencent les choix des élus qui seront appelés à occuper les sphères décisionnelles. Par ricochet, ce qui leur permettra de ne pas subir les affres des lendemains des joutes électorales.



La Présidente du CNJC va en sa qualité d’Ambassadrice du MINPOSTEL contre la cybercriminalité va aussi mettre en accent sur les lourdes conséquences qu’il y a de poser les actes délictueux à travers les moyens de communications digitaux. A la fin des échanges, une courte marche pour la paix et la lutte contre le discours de haine, la xénophobie, la cybercriminalité, et toute forme de violence va être conduite vers le monument de la paix. Et sera marquée par la lecture de la déclaration du CNJC qui va appeler les jeunes à œuvre contre le discours de haine, le discours tribal, à ne pas plonger dans la cybercriminalité, à ne pas glisser dans la xénophobie, et ainsi à la contribution à la consolidation de la paix. Cela assorti d’une invitation des jeunes à jeter les armes et sortir de l’extrémisme violent pour rejoindre les centres de DDR dans les régions du Nord-ouest, du Sud- Ouest et de l’Extrême-Nord.  Avant de poursuivre son périple à Buea pour rencontrer les jeunes de la région du Sud-Ouest, la présidente du Conseil National de la Jeunesse du Cameroun Fadimatou Iyawa Ousmanou va donner son appréciation sur l’étape de Douala : «Aujourd’hui, je suis satisfait de voir les jeunes de la région du Littoral sortir en masse pour dire non au discours de haine, non à la xénophobie, stop au tribalisme et dire aussi oui à la paix, oui à un Cameroun un et indivisible».




Mathieu Nathanaël NJOG



Article publié dans le journal Le Canard Libéré du Cameroun


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